Bündnismitglieder
In der Familie der Seligpreisungen um die Gemeinschaft können Jugendliche, Ehepaare, Ledige, Diakone und Priester an der Spiritualität der Gemeinschaft in ihrem Alltag teilhaben, indem sie sich als «Bündnismitglieder» engagieren. Es gibt mehrere Formen und Möglichkeiten, an der Familie der Seligpreisungen teilzunehmen.
- Die Freunde des Lammes sind Gläubige oder Kleriker, die die Spiritualität der Seligpreisungen leben wollen. Sie engagieren sich für ein Jahr und wollen ein regelmäßiges Gebetsleben entsprechend der gemeinschaftlichen Liturgie führen und sich aktiv an dem Leben und der Mission der Gemeinschaft beteiligen. Email…
- Jugendliche zwischen 16 und 30 können sich als Jünger des Lammes engagieren. Es sind Jugendliche, die eine persönliche Erfahrung der Bekehrung gemacht haben und Jesus Christus als einzigen Herrn und Meister ihres Lebens wählen wollen. Sie treffen sich regelmäßig und bezeugen diese Zugehörigkeit durch ihren Glauben und ihr konkretes Engagement in der Kirche und in der Gesellschaft.
- Die Fraternitäten Camille de Lellis sind Orte des Hörens und des Empfangs. Ihre Mitglieder haben den Ruf gespürt, Personen zu begleiten und für sie zu beten, und haben die entsprechende Ausbildung bekommen in Verbindung mit der Gemeinschaft. Sie schlagen Menschen in Not eine Begleitung voller Barmherzigkeit für eine innere Genesung vor.
- Die Fraternitäten von Geistlichen. Die Mitglieder dieser Fraternitäten sind Priester, die die Spiritualität der Gemeinschaft an ihrem jeweiligen Einsatzort leben wollen. Sie treffen sich als Fraternität mit den Priestern der Gemeinschaft um an gemeinsamen Missionen teilzunehmen.

Père Balazs
Je suis originaire de Hongrie. J’ai été ordonné en 2004. Après mon ordination, j’ai étudié…
Je suis originaire de Hongrie. J’ai été ordonné en 2004. Après mon ordination, j’ai étudié la théologie biblique (le Nouveau Testament) à Munich. J’ai été au service de plusieurs paroisses et j’ai également enseigné la théologie biblique. Depuis septembre 2018, je suis responsable des séminaristes du diocèse de Veszprém et j’enseigne au collège. Je suis de plus devenu aumônier de l’université : mon rôle est de réunir, accompagner et évangéliser les étudiants.
Je connais la Communauté des Béatitudes depuis vingt ans. Dès le début, j’y ai expérimenté un véritable esprit familial : je m’y suis tout de suite senti chez moi ! Ma vocation est d’être prêtre diocésain, mais la Communauté est pour moi un vrai foyer, dans lequel je peux retourner pour puiser de la force en me plongeant dans la spiritualité communautaire. Je peux ensuite transmettre cette spiritualité aux personnes qui m’entourent.
Quand a été lancée la Fraternité des Clercs des Béatitudes en Hongrie, j’ai tout de suite saisi l’occasion de m’engager. C’était le 20 mai 2015. Depuis je réalise de plus en plus combien je reçois des charismes de la Communauté et je ne pourrais plus imaginer ma vie personnelle et sacerdotale sans elle.
Père Balazs

Hajni et Tobias
Je m’appelle Hajni, j’ai 23 ans, suis hongroise et mariée depuis deux ans. Je viens…
Je m’appelle Hajni, j’ai 23 ans, suis hongroise et mariée depuis deux ans. Je viens de terminer mes études pour devenir institutrice en maternelle. J’ai connu la Communauté à l’âge de 13 ans à l’occasion d’un camp de jeunes à Homokkomarom (Camp Mont-Thabor)
C’est dans ce camp que j’ai rencontré pour la première fois mon mari, Tobias. Il a 27 ans et est informaticien. Tobias connaît la Communauté depuis son enfance parce qu’il a participé à plusieurs programmes communautaires avec ses parents depuis les années 90. Il se sent vraiment chez lui aux Béatitudes. Nous habitons à Piliscsaba, ville proche de Budapest. Actuellement nous attendons notre premier bébé. Nous aimons beaucoup randonner ensemble et nous participons à la vie quotidienne de notre paroisse.
Nous avons participé à la formation des Disciples de l’Agneau. La Communauté est devenue pour nous un lieu de ressourcement et un soutien dans la prière. Elle est aussi le lieu où nous pouvons exercer des apostolats : je chante dans la chorale pendant les camps de jeunes et mon mari aide pour les aspects plus techniques de l’organisation.
C’est pour ces raisons que nous nous sommes engagés comme Amis de l’Agneau en 2017. Cet engagement donne un cadre et un élan spirituel à notre vie en nous faisant goûter la bonté de Dieu et nous donne la possibilité de vivre authentiquement notre vie chrétienne dans la gratitude et la liberté.
Hajni et Tobias

Pauline
Devenir Disciple de l’Agneau répondait pour moi à un besoin profond d’unité et de sens…
Devenir Disciple de l’Agneau répondait pour moi à un besoin profond d’unité et de sens : que ma vie avec le Christ ne soit plus seulement „vivante“ aux Béatitudes quand j’y étais, mais dans tout mon quotidien. C’était aussi pour moi une manière de me rapprocher de cette Communauté que j’aime beaucoup et dans laquelle j’ai trouvé de quoi nourrir ma foi.

Marie
J’ai 30 ans. Je suis mariée et mère de trois enfants de 5 ans, 3…
J’ai 30 ans. Je suis mariée et mère de trois enfants de 5 ans, 3 ans et un nouveau-né. Mon mari n’est pas baptisé bien que nous nous soyons mariés à l’Eglise et que nos enfants le soient. Je suis enseignante en lycée.
J’ai fait mon premier engagement en tant qu’Amie de l’Agneau de la maison de Nouan-le-Fuzelier en février 2014. Depuis, je l’ai renouvelé chaque année.
C’est en 2005 que j’ai rencontré la Communauté des Béatitudes et le coup de foudre a été immédiat. Musicienne, j’ai tout de suite été séduite par les chants et la beauté de la liturgie. Au fil du temps, je me suis vraiment rapprochée de la Communauté et lorsqu’en 2007 la responsable du foyer que je fréquentais m’a parlé de cet engagement d’Ami de l’Agneau, cela m’a tout de suite parlé. Cet engagement correspondait exactement au lien que je voulais conserver avec la Communauté. Finalement, il en a été tout autrement et après un éloignement géographique et spirituel pendant quelques temps, j’ai retrouvé le chemin de la Communauté en 2011 à l’occasion des JMJ de Madrid. Et rapidement, l’appel à devenir Amie de l’Agneau s’est fait à nouveau sentir. Il m’est apparu essentiel à mon équilibre spirituel. Je me suis rendu compte que j’ai besoin de la Communauté pour me ramener toujours à Jésus et que c’était important pour moi d’avoir un rôle, une place pour la Communauté.
Au quotidien, cet engagement m’apporte un soutien sans faille, l’assurance d’avoir des frères et sœurs qui me portent dans leur prière et le plaisir de se retrouver vraiment en famille lors des weekends au foyer. J’ai aussi la joie d’avoir pu « exporter » les Soirées Pétales de roses dans ma paroisse : du coup chaque année en octobre, deux membres de la Communauté viennent animer avec moi cette veillée qui s’enracine maintenant depuis cinq ans dans la culture paroissiale !
Marie

Clément
Demain, dimanche 7 octobre, je renouvelle mon engagement de Disciple de l’Agneau. Voici pourquoi. Parce…
Demain, dimanche 7 octobre, je renouvelle mon engagement de Disciple de l’Agneau. Voici pourquoi.
Parce que Jésus-Christ est mon seul maître. De qui d’autre me mettrai-je à la suite ? Il est celui qui fait toute ma joie, la présence constante dans mon cœur qui reste quelques soient les difficultés, les moments de joie ou de doute. Lorsque toutes mes certitudes s’envolent, lorsque mes amis me manquent, lui est fidèle et il répond toujours quand je l’appelle. Il est le roc sur lequel j’ancre mon cœur, la quille qui stabilise ma vie. Il ne m’a jamais fait défaut.
Parce qu’en Jésus seul je trouve mon bonheur. Récemment, alors que je m’efforçais d’être vertueux (ça peut arriver), je me suis rendu compte que j’aurai beau être parfait, agir parfaitement, je ne serai pas pour autant comblé. La seule façon d’être comblé de bonheur est de vivre dans le Cœur de Jésus. Jamais je n’ai trouvé de bonheur comparable à celui que j’ai expérimenté quelques fois devant la Face du Seigneur durant l’adoration, ou durant la communion à la messe. Aucun bonheur n’égale celui de sentir la présence brûlante de Jésus dans son cœur. C’est dans le Cœur de Jésus que je m’épanouis, que je me découvre tel que le Père a voulu que je sois, que je me sens libre, connu, aimé. Cette présence qui m’habite est vivante, elle est aussi parole. A l’âge de huit ans (à force de demander), j’ai reçu la grande grâce de pouvoir entrer en dialogue avec Jésus, de discuter avec lui de façon intelligible. Aujourd’hui, douze ans après, une amitié très profonde s’est ancrée entre Jésus et moi, et de la surgit ma joie.
Parce que je veux encore recevoir les grâces que Dieu veut me donner. Plus je reçois, et plus mon désir grandi. Plus j’aime Jésus, et plus j’ai le désir de le connaître, d’approfondir ses mystères et de demeurer dans son amour. Plus je demande, et plus je reçois. Dieu a un tel désir de se faire connaître et de se donner ! Et il suffit de demander !
Enfin, je ne peux garder pour moi l’amour que Dieu a aussi pour les autres. Être Disciple de l’Agneau, c’est aussi être témoin visible de Jésus et de ce qu’il fait dans ma vie, pour que les autres voient quel grand amour Dieu veut leur donner.
Clément, 20 ans

Terez
Je suis hongroise, j’ai 23 ans et je fais actuellement des études à Budapest pour…
Je suis hongroise, j’ai 23 ans et je fais actuellement des études à Budapest pour devenir institutrice.
L’année dernière, j’ai participé pour la deuxième fois au Festival Thabor, camp de jeunes de la Communauté des Béatitudes à Homokkomarom en Hongrie. Ce camp a été très béni : je me suis sentie très près de Dieu et j’ai reçu beaucoup de grâces. Ma petite sœur était déjà Disciple de l’Agneau et m’avait souvent parlé de la formation, de l’ambiance, de ses expériences et des temps passés avec Dieu, si bien qu’à la fin de l’été, j’ai décidé d’appartenir moi aussi à la Communauté : je voulais retourner à Homokkomarom, je voulais être Disciple de l’Agneau !
Je connaissais déjà la spiritualité et les prières de la Communauté des Béatitudes par mes parents qui sont eux aussi membres de la Communauté. C’est pourquoi je m’y sens vraiment chez moi.
Je suis actuellement en deuxième année de formation. Depuis que j’appartiens à la Communauté, j’ai forgé de nombreuses relations précieuses, et j’ai reçu énormément de Dieu. J’ai découvert des perspectives nouvelles qui m’aident dans ma relation avec Dieu. Cela a renforcé ma foi et m’a appris à devenir une chrétienne plus adulte et plus consciente de sa foi. J’ai également pu faire l’expérience du bonheur d’être ensemble, en Communauté, avec les sœurs et avec les autres !
Mon engagement a été quelque chose de très intense. Je suis heureuse d’avoir pu dire un « oui » conscient à Dieu. Cet engagement me donne beaucoup de force et me soutient sur ma route pour que je puisse m’approcher toujours plus du Bon Dieu ! Persévérer au quotidien est parfois un vrai combat, mais l’engagement est un point sûr auquel je peux toujours revenir. De plus, je ne suis pas seule et cela me fortifie : on fait cet engagement ensemble, on est en communion et on peut se fortifier les uns les autres à travers nos expériences et nos combats quotidiens.
Terez

Père Balazs
Je suis originaire de Hongrie. J’ai été ordonné en 2004. Après mon ordination, j’ai étudié…
Je suis originaire de Hongrie. J’ai été ordonné en 2004. Après mon ordination, j’ai étudié la théologie biblique (le Nouveau Testament) à Munich. J’ai été au service de plusieurs paroisses et j’ai également enseigné la théologie biblique. Depuis septembre 2018, je suis responsable des séminaristes du diocèse de Veszprém et j’enseigne au collège. Je suis de plus devenu aumônier de l’université : mon rôle est de réunir, accompagner et évangéliser les étudiants.
Je connais la Communauté des Béatitudes depuis vingt ans. Dès le début, j’y ai expérimenté un véritable esprit familial : je m’y suis tout de suite senti chez moi ! Ma vocation est d’être prêtre diocésain, mais la Communauté est pour moi un vrai foyer, dans lequel je peux retourner pour puiser de la force en me plongeant dans la spiritualité communautaire. Je peux ensuite transmettre cette spiritualité aux personnes qui m’entourent.
Quand a été lancée la Fraternité des Clercs des Béatitudes en Hongrie, j’ai tout de suite saisi l’occasion de m’engager. C’était le 20 mai 2015. Depuis je réalise de plus en plus combien je reçois des charismes de la Communauté et je ne pourrais plus imaginer ma vie personnelle et sacerdotale sans elle.
Père Balazs

Hajni et Tobias
Je m’appelle Hajni, j’ai 23 ans, suis hongroise et mariée depuis deux ans. Je viens…
Je m’appelle Hajni, j’ai 23 ans, suis hongroise et mariée depuis deux ans. Je viens de terminer mes études pour devenir institutrice en maternelle. J’ai connu la Communauté à l’âge de 13 ans à l’occasion d’un camp de jeunes à Homokkomarom (Camp Mont-Thabor)
C’est dans ce camp que j’ai rencontré pour la première fois mon mari, Tobias. Il a 27 ans et est informaticien. Tobias connaît la Communauté depuis son enfance parce qu’il a participé à plusieurs programmes communautaires avec ses parents depuis les années 90. Il se sent vraiment chez lui aux Béatitudes. Nous habitons à Piliscsaba, ville proche de Budapest. Actuellement nous attendons notre premier bébé. Nous aimons beaucoup randonner ensemble et nous participons à la vie quotidienne de notre paroisse.
Nous avons participé à la formation des Disciples de l’Agneau. La Communauté est devenue pour nous un lieu de ressourcement et un soutien dans la prière. Elle est aussi le lieu où nous pouvons exercer des apostolats : je chante dans la chorale pendant les camps de jeunes et mon mari aide pour les aspects plus techniques de l’organisation.
C’est pour ces raisons que nous nous sommes engagés comme Amis de l’Agneau en 2017. Cet engagement donne un cadre et un élan spirituel à notre vie en nous faisant goûter la bonté de Dieu et nous donne la possibilité de vivre authentiquement notre vie chrétienne dans la gratitude et la liberté.
Hajni et Tobias

Pauline
Devenir Disciple de l’Agneau répondait pour moi à un besoin profond d’unité et de sens…
Devenir Disciple de l’Agneau répondait pour moi à un besoin profond d’unité et de sens : que ma vie avec le Christ ne soit plus seulement „vivante“ aux Béatitudes quand j’y étais, mais dans tout mon quotidien. C’était aussi pour moi une manière de me rapprocher de cette Communauté que j’aime beaucoup et dans laquelle j’ai trouvé de quoi nourrir ma foi.

Marie
J’ai 30 ans. Je suis mariée et mère de trois enfants de 5 ans, 3…
J’ai 30 ans. Je suis mariée et mère de trois enfants de 5 ans, 3 ans et un nouveau-né. Mon mari n’est pas baptisé bien que nous nous soyons mariés à l’Eglise et que nos enfants le soient. Je suis enseignante en lycée.
J’ai fait mon premier engagement en tant qu’Amie de l’Agneau de la maison de Nouan-le-Fuzelier en février 2014. Depuis, je l’ai renouvelé chaque année.
C’est en 2005 que j’ai rencontré la Communauté des Béatitudes et le coup de foudre a été immédiat. Musicienne, j’ai tout de suite été séduite par les chants et la beauté de la liturgie. Au fil du temps, je me suis vraiment rapprochée de la Communauté et lorsqu’en 2007 la responsable du foyer que je fréquentais m’a parlé de cet engagement d’Ami de l’Agneau, cela m’a tout de suite parlé. Cet engagement correspondait exactement au lien que je voulais conserver avec la Communauté. Finalement, il en a été tout autrement et après un éloignement géographique et spirituel pendant quelques temps, j’ai retrouvé le chemin de la Communauté en 2011 à l’occasion des JMJ de Madrid. Et rapidement, l’appel à devenir Amie de l’Agneau s’est fait à nouveau sentir. Il m’est apparu essentiel à mon équilibre spirituel. Je me suis rendu compte que j’ai besoin de la Communauté pour me ramener toujours à Jésus et que c’était important pour moi d’avoir un rôle, une place pour la Communauté.
Au quotidien, cet engagement m’apporte un soutien sans faille, l’assurance d’avoir des frères et sœurs qui me portent dans leur prière et le plaisir de se retrouver vraiment en famille lors des weekends au foyer. J’ai aussi la joie d’avoir pu « exporter » les Soirées Pétales de roses dans ma paroisse : du coup chaque année en octobre, deux membres de la Communauté viennent animer avec moi cette veillée qui s’enracine maintenant depuis cinq ans dans la culture paroissiale !
Marie

Clément
Demain, dimanche 7 octobre, je renouvelle mon engagement de Disciple de l’Agneau. Voici pourquoi. Parce…
Demain, dimanche 7 octobre, je renouvelle mon engagement de Disciple de l’Agneau. Voici pourquoi.
Parce que Jésus-Christ est mon seul maître. De qui d’autre me mettrai-je à la suite ? Il est celui qui fait toute ma joie, la présence constante dans mon cœur qui reste quelques soient les difficultés, les moments de joie ou de doute. Lorsque toutes mes certitudes s’envolent, lorsque mes amis me manquent, lui est fidèle et il répond toujours quand je l’appelle. Il est le roc sur lequel j’ancre mon cœur, la quille qui stabilise ma vie. Il ne m’a jamais fait défaut.
Parce qu’en Jésus seul je trouve mon bonheur. Récemment, alors que je m’efforçais d’être vertueux (ça peut arriver), je me suis rendu compte que j’aurai beau être parfait, agir parfaitement, je ne serai pas pour autant comblé. La seule façon d’être comblé de bonheur est de vivre dans le Cœur de Jésus. Jamais je n’ai trouvé de bonheur comparable à celui que j’ai expérimenté quelques fois devant la Face du Seigneur durant l’adoration, ou durant la communion à la messe. Aucun bonheur n’égale celui de sentir la présence brûlante de Jésus dans son cœur. C’est dans le Cœur de Jésus que je m’épanouis, que je me découvre tel que le Père a voulu que je sois, que je me sens libre, connu, aimé. Cette présence qui m’habite est vivante, elle est aussi parole. A l’âge de huit ans (à force de demander), j’ai reçu la grande grâce de pouvoir entrer en dialogue avec Jésus, de discuter avec lui de façon intelligible. Aujourd’hui, douze ans après, une amitié très profonde s’est ancrée entre Jésus et moi, et de la surgit ma joie.
Parce que je veux encore recevoir les grâces que Dieu veut me donner. Plus je reçois, et plus mon désir grandi. Plus j’aime Jésus, et plus j’ai le désir de le connaître, d’approfondir ses mystères et de demeurer dans son amour. Plus je demande, et plus je reçois. Dieu a un tel désir de se faire connaître et de se donner ! Et il suffit de demander !
Enfin, je ne peux garder pour moi l’amour que Dieu a aussi pour les autres. Être Disciple de l’Agneau, c’est aussi être témoin visible de Jésus et de ce qu’il fait dans ma vie, pour que les autres voient quel grand amour Dieu veut leur donner.
Clément, 20 ans

Terez
Je suis hongroise, j’ai 23 ans et je fais actuellement des études à Budapest pour…
Je suis hongroise, j’ai 23 ans et je fais actuellement des études à Budapest pour devenir institutrice.
L’année dernière, j’ai participé pour la deuxième fois au Festival Thabor, camp de jeunes de la Communauté des Béatitudes à Homokkomarom en Hongrie. Ce camp a été très béni : je me suis sentie très près de Dieu et j’ai reçu beaucoup de grâces. Ma petite sœur était déjà Disciple de l’Agneau et m’avait souvent parlé de la formation, de l’ambiance, de ses expériences et des temps passés avec Dieu, si bien qu’à la fin de l’été, j’ai décidé d’appartenir moi aussi à la Communauté : je voulais retourner à Homokkomarom, je voulais être Disciple de l’Agneau !
Je connaissais déjà la spiritualité et les prières de la Communauté des Béatitudes par mes parents qui sont eux aussi membres de la Communauté. C’est pourquoi je m’y sens vraiment chez moi.
Je suis actuellement en deuxième année de formation. Depuis que j’appartiens à la Communauté, j’ai forgé de nombreuses relations précieuses, et j’ai reçu énormément de Dieu. J’ai découvert des perspectives nouvelles qui m’aident dans ma relation avec Dieu. Cela a renforcé ma foi et m’a appris à devenir une chrétienne plus adulte et plus consciente de sa foi. J’ai également pu faire l’expérience du bonheur d’être ensemble, en Communauté, avec les sœurs et avec les autres !
Mon engagement a été quelque chose de très intense. Je suis heureuse d’avoir pu dire un « oui » conscient à Dieu. Cet engagement me donne beaucoup de force et me soutient sur ma route pour que je puisse m’approcher toujours plus du Bon Dieu ! Persévérer au quotidien est parfois un vrai combat, mais l’engagement est un point sûr auquel je peux toujours revenir. De plus, je ne suis pas seule et cela me fortifie : on fait cet engagement ensemble, on est en communion et on peut se fortifier les uns les autres à travers nos expériences et nos combats quotidiens.
Terez