Bündnismitglieder

In der Familie der Seligpreisungen um die Gemeinschaft  können Jugendliche, Ehepaare, Ledige, Diakone und Priester an der Spiritualität der Gemeinschaft in ihrem Alltag teilhaben, indem sie sich als «Bündnismitglieder» engagieren. Es gibt mehrere Formen und Möglichkeiten, an der Familie der Seligpreisungen teilzunehmen.

Jugendliche

zwischen

Jugendliche zwischen 16 und 30 können sich als Jünger des Lammes engagieren. Es sind Jugendliche, die eine persönliche Erfahrung der Bekehrung gemacht haben und Jesus Christus als einzigen Herrn und Meister ihres Lebens wählen wollen. Sie treffen sich regelmäßig und bezeugen diese Zugehörigkeit durch ihren Glauben und ihr konkretes Engagement in der Kirche und in der Gesellschaft.

Die Freunde

des Lammes

Die Freunde des Lammes sind Gläubige oder Kleriker, die die Spiritualität der Seligpreisungen leben wollen. Sie engagieren sich für ein Jahr und wollen ein regelmäßiges Gebetsleben entsprechend der gemeinschaftlichen Liturgie führen und sich aktiv an dem Leben und der Mission der Gemeinschaft beteiligen. Email…

Die Fraternitäten

von Geistlichen

Die Mitglieder dieser Fraternitäten sind Priester, die die Spiritualität der Gemeinschaft an ihrem jeweiligen Einsatzort leben wollen. Sie treffen sich als Fraternität mit den Priestern der Gemeinschaft um an gemeinsamen Missionen teilzunehmen.

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    “Votre don sera reçu par la Fondation pour le Clergé, en faveur de la Communauté des Béatitudes et les données recueillies sur le formulaire de don serviront aux communications de la Communauté des Béatitudes et de la Fondation pour le Clergé.”

    Sr Thérèse de la Sainte Face

    témoignage de

    Sr Thérèse de la Sainte Face

     

    Je m’appelle Sœur Thérèse de la Ste Face (en référence au visage du Christ, pour les non-initiés). Je suis française originaire de la Guadeloupe (les Antilles),  à la Communauté depuis vingt ans. Jésus est venu me cueillir sur les bancs de l’université à Paris où j’étudiais les mathématiques.

    Depuis l’enfance, j’ai reçu une éducation religieuse de base. Quand j’ai quitté mon île pour des études en France métropolitaine, j’entrais dans une autonomie à tout point de vue et la dimension de la foi n’y a pas échappé : quelle chrétienne étais-je ? Qui était le Christ pour moi ? Quelle place donnais-je à l’Eucharistie dans ma vie ? Etait-ce pour moi simplement une tradition à perpétuer ?

    C’est en plein questionnement que j’ai rencontré un groupe de prière qui a été le canal d’une expérience spirituelle déterminante. J’ai découvert un Dieu vivant et qui n’est pas du tout loin de ce que je vis. Je peux partager deux points de cette expérience : devant Jésus dans l’hostie exposée, j’ai goûté l’amour infini de Dieu pour moi, j’avais rencontré Quelqu’un qui m’aimait et de manière unique. Puis dans un deuxième temps, à travers la prière de quelques membres du groupe de prière, j’ai revu toute ma vie en un instant et j’ai pris conscience de la fidélité de Dieu dans divers moments de ma vie. J’ai touché quelque chose de Dieu, quelque chose de grand et de beau que rien ni personne ne pouvait me ravir. Non seulement j’avais la certitude de l’existence de Dieu, mais je savais de l’intérieur qu’Il était en moi et avec moi.

    Devant un tel Amour, a resurgi dans mon cœur l’appel à la vie religieuse (que je situe à l’âge de 12 ans) : ce désir de donner toute ma vie à Dieu pour L’aimer et faire connaitre Son Amour.

    Durant le temps de discernement qui suivit, je rencontrai à la faculté, de façon providentielle, une personne qui se rendait à la Communauté des Béatitudes pour une retraite. C’est ainsi que je décidai de m’y rendre aussi pour essayer de comprendre la volonté de Dieu.

    J’ai été frappée par la liturgie, la ferveur de la louange de cette communauté, la qualité de la vie fraternelle, la beauté de Dieu qui émanait dans cette simplicité de vie, ainsi que l’ouverture à l’évangélisation. J’ai donc choisi la Communauté car il me semblait que le grand désir que j’avais de me donner à Dieu pouvait se concrétiser dans ce choix de vie où contemplation et mission s’entremêlaient de manière forte. Et je n’ai pas été déçue !

    Pour moi, la vie religieuse est un moyen pour aimer pleinement. Une voie qui montre que Dieu existe et que cela vaut la peine de Lui consacrer toute sa vie. Chaque jour, j’apprends à me laisser faire et éclairer par Dieu, à être de mieux en mieux disponible pour Le faire connaitre et  aimer.

    „Le vent souffle où il veut et tu entends sa voix, mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va. Ainsi en est-il de quiconque est né de l’Esprit“ (Jn 3, 8). Suivre le Christ c’est une aventure : se laisser sans cesse surprendre par Dieu et rester ouvert à la nouveauté de l’Esprit…

    Sœur Thérèse de la Sainte Face

    témoignage de

    Père Balazs

    Je suis originaire de Hongrie. J’ai été ordonné en 2004. Après mon ordination, j’ai étudié la théologie biblique (le Nouveau Testament) à Munich. J’ai été au service de plusieurs paroisses et j’ai également enseigné la théologie biblique. Depuis septembre 2018, je suis responsable des séminaristes du diocèse de Veszprém et j’enseigne au collège. Je suis de plus devenu aumônier de l’université : mon rôle est de réunir, accompagner et évangéliser les étudiants.

    Je connais la Communauté des Béatitudes depuis vingt ans. Dès le début, j’y ai expérimenté un véritable esprit familial : je m’y suis tout de suite senti chez moi ! Ma vocation est d’être prêtre diocésain, mais la Communauté est pour moi un vrai foyer, dans lequel je peux retourner pour puiser de la force en me plongeant dans la spiritualité communautaire. Je peux ensuite transmettre cette spiritualité aux personnes qui m’entourent.

    Quand a été lancée la Fraternité des Clercs des Béatitudes en Hongrie, j’ai tout de suite saisi l’occasion de m’engager. C’était le 20 mai 2015. Depuis je réalise de plus en plus combien je reçois des charismes de la Communauté et je ne pourrais plus imaginer ma vie personnelle et sacerdotale sans elle.

    Père Balazs

    Sr Thérèse de la Sainte Face

    Zeugnis von

    Sr. Therese vom Heiligen Antlitz

    Mein Name ist Schwester Thérèse vom Heiligen Antlitz (in Bezug auf das Antlitz Christi, für die Uneingeweihten). Ich bin Franzose aus Guadeloupe (Westindien) und seit zwanzig Jahren in der Gemeinschaft. Jesus kam, um mich von den Bänken der Universität in Paris abzuholen, wo ich Mathematik studierte.

    Seit meiner Kindheit erhielt ich eine grundlegende religiöse Erziehung. Als ich meine Insel zum Studium im französischen Mutterland verließ, trat ich in jeder Hinsicht in eine Autonomie ein, und die Dimension des Glaubens entging ihr nicht: Welcher Christ war ich? Wer war Christus für mich? Welchen Platz habe ich der Eucharistie in meinem Leben eingeräumt? War es nur eine Tradition für mich, weiterzumachen?

    In voller Frage begegnete ich einer Gebetsgruppe, die der Kanal einer entscheidenden spirituellen Erfahrung war. Ich habe einen lebendigen Gott entdeckt, der gar nicht weit von dem entfernt ist, was ich lebe. Zwei Punkte dieser Erfahrung kann ich teilen: Vor Jesus in der exponierten Hostie habe ich Gottes unendliche Liebe zu mir geschmeckt, ich war jemandem begegnet, der mich auf einzigartige Weise liebte. Dann, ein zweites Mal, durch das Gebet einiger Mitglieder der Gebetsgruppe, ließ ich mein ganzes Leben in einem Augenblick Revue passieren und wurde mir der Treue Gottes in verschiedenen Momenten meines Lebens bewusst. Ich berührte etwas von Gott, etwas Großes und Schönes, das mir nichts und niemand nehmen konnte. Ich war mir nicht nur der Existenz Gottes sicher, sondern ich wusste von innen heraus, dass er in mir und mit mir war.

    Ich war beeindruckt von der Liturgie, dem Lobpreis dieser Gemeinschaft, der Qualität des brüderlichen Lebens, der Schönheit Gottes, die von dieser Einfachheit des Lebens ausging, sowie von der Offenheit für die Evangelisierung. Also habe ich mich für die Gemeinschaft entschieden, weil mir schien, dass der große Wunsch, den ich hatte, mich Gott hinzugeben, sich in dieser Lebenswahl verwirklichen könnte, in der Kontemplation und Mission stark miteinander verflochten sind. Und ich wurde nicht enttäuscht!

    Für mich ist das Ordensleben ein Weg, vollkommen zu lieben. Ein Weg, der zeigt, dass es Gott gibt und dass es sich lohnt, ihm sein ganzes Leben zu widmen. Jeden Tag lerne ich, mich von Gott erleuchten zu lassen, immer mehr verfügbar zu sein, um Ihn bekannt und geliebt zu machen.

    „Der Wind weht, wo er will, und du hörst seine Stimme, aber du weißt nicht, woher er kommt und wohin er geht. So ist es mit jedem, der aus dem Geist geboren ist“ (Joh 3,8). Christus nachzufolgen ist ein Abenteuer: sich ständig von Gott überraschen zu lassen und offen zu bleiben für die Neuheit des Geistes…

    Schwester Therese vom Heiligen Antlitz

    zeugnis von

    Pater Balazs

    Ich komme ursprünglich aus Ungarn. Ich wurde 2004 ordiniert. Nach meiner Ordination habe ich in München Biblische Theologie (Neues Testament) studiert. Ich habe in mehreren Gemeinden gedient und auch biblische Theologie gelehrt. Seit September 2018 bin ich für die Seminaristen der Diözese Veszprém zuständig und unterrichte am Gymnasium. Darüber hinaus bin ich Hochschulseelsorger geworden: meine Aufgabe ist es, die Studenten zusammenzubringen, zu begleiten und zu evangelisieren.

    Ich kenne die Gemeinschaft der Seligpreisungen seit zwanzig Jahren. Von Anfang an habe ich dort einen echten Familiengeist erlebt: Ich habe mich dort sofort zu Hause gefühlt! Meine Berufung ist es, Diözesanpriester zu werden, aber die Gemeinschaft ist für mich ein echtes Zuhause, in das ich zurückkehren kann, um Kraft zu schöpfen, indem ich in die Spiritualität der Gemeinschaft eintauche. Diese Spiritualität kann ich dann an die Menschen in meiner Umgebung weitergeben.

    Als die Fraternität der Kleriker der Seligpreisungen in Ungarn ins Leben gerufen wurde, ergriff ich sofort die Gelegenheit, mich zu engagieren. Das war am 20. Mai 2015. Seitdem wird mir immer mehr bewusst, wie viele Charismen ich von der Gemeinschaft empfange, und ich könnte mir mein persönliches und priesterliches Leben ohne sie nicht mehr vorstellen.

    Pater Balazs

    témoignage de

    Hajni et Tobias

    Je m’appelle Hajni, j’ai 23 ans, suis hongroise et mariée depuis deux ans. Je viens de terminer mes études pour devenir institutrice en maternelle. J’ai connu la Communauté à l’âge de 13 ans à l’occasion d’un camp de jeunes à Homokkomarom (Camp Mont-Thabor)

    C’est dans ce camp que j’ai rencontré pour la première fois mon mari, Tobias. Il a 27 ans et est informaticien. Tobias connaît la Communauté depuis son enfance parce qu’il a participé à plusieurs programmes communautaires avec ses parents depuis les années 90. Il se sent vraiment chez lui aux Béatitudes. Nous habitons à Piliscsaba, ville proche de Budapest. Actuellement nous attendons notre premier bébé. Nous aimons beaucoup randonner ensemble et nous participons à la vie quotidienne de notre paroisse.

    Nous avons participé à la formation des Disciples de l’Agneau. La Communauté est devenue pour nous un lieu de ressourcement et un soutien dans la prière. Elle est aussi le lieu où nous pouvons exercer des apostolats : je chante dans la chorale pendant les camps de jeunes et mon mari aide pour les aspects plus techniques de l’organisation.

    C’est pour ces raisons que nous nous sommes engagés comme Amis de l’Agneau en 2017. Cet engagement donne un cadre et un élan spirituel à notre vie en nous faisant goûter la bonté de Dieu et nous donne la possibilité de vivre authentiquement notre vie chrétienne dans la gratitude et la liberté.

    Hajni et Tobias

    zeugnis von

    Hajni und Tobias

    Mein Name ist Hajni, ich bin 23 Jahre alt, aus Ungarn und seit zwei Jahren verheiratet. Ich habe gerade mein Studium abgeschlossen, um Kindergärtnerin zu werden. Ich habe die Gemeinschaft im Alter von 13 Jahren bei einem Jugendlager in Homokkomarom (Camp Mont-Thabor) kennengelernt.

    In diesem Lager habe ich zum ersten Mal meinen Mann Tobias kennengelernt. Er ist 27 Jahre alt und Informatiker. Tobias kennt die Gemeinschaft seit seiner Kindheit, weil er seit den 90er Jahren mit seinen Eltern an mehreren Gemeinschaftsprogrammen teilgenommen hat. Er fühlt sich in den Seligpreisungen wirklich zu Hause. Wir wohnen in Piliscsaba, einer Stadt in der Nähe von Budapest. Derzeit erwarten wir unser erstes Baby. Wir gehen sehr gerne zusammen wandern und beteiligen uns am täglichen Leben unserer Gemeinde.

    Wir haben an der Ausbildung der Jünger des Lammes teilgenommen. Die Gemeinschaft ist für uns zu einem Ort geworden, an dem wir neue Kraft schöpfen und uns im Gebet unterstützen können. Sie ist auch der Ort, an dem wir Apostolate ausüben können: Ich singe bei den Jugendlagern im Chor und mein Mann hilft bei den eher technischen Aspekten der Organisation.

    Aus diesen Gründen haben wir uns 2017 als Freunde des Lammes verpflichtet. Diese Verpflichtung gibt unserem Leben einen Rahmen und spirituellen Schwung, indem sie uns die Güte Gottes schmecken lässt und uns die Möglichkeit gibt, unser christliches Leben authentisch in Dankbarkeit und Freiheit zu leben.

    Hajni und Tobias

    témoignage de

    Pauline

    Devenir Disciple de l’Agneau répondait pour moi à un besoin profond d’unité et de sens : que ma vie avec le Christ ne soit plus seulement „vivante“ aux Béatitudes quand j’y étais, mais dans tout mon quotidien. C’était aussi pour moi une manière de me rapprocher de cette Communauté que j’aime beaucoup et dans laquelle j’ai trouvé de quoi nourrir ma foi.

    L’exigence de cet engagement n’est pas facile à tenir tous les jours, mais il me tire vers le haut. J’ai découvert combien il est léger de porter la croix du Christ, que nous recevons le jour de notre engagement. Les rencontres des Disciples à la Communauté sont toujours des temps de grâces où je peux puiser des forces nouvelles pour vivre ma foi au quotidien.
     
    J’entame désormais ma troisième année en tant que Disciple, et je peux affirmer que ce n’est plus moi qui porte la croix, c’est elle qui porte ma vie.
    Pauline

    zeugnis von

    Pauline

    Jünger des Lammes zu werden, entsprach für mich einem tiefen Bedürfnis nach Einheit und Sinn: Dass mein Leben mit Christus nicht mehr nur in den Seligpreisungen „lebendig“ ist, wenn ich dort war, sondern in meinem ganzen Alltag. Es war für mich auch eine Möglichkeit, mich dieser Gemeinschaft anzunähern, die ich sehr liebe und in der ich Nahrung für meinen Glauben gefunden habe.

    Der Anspruch dieses Engagements ist nicht leicht, jeden Tag zu halten, aber es zieht mich hoch. Ich habe entdeckt, wie leicht es ist, das Kreuz Christi zu tragen, das wir am Tag unserer Verpflichtung empfangen. Die Treffen der Jünger in der Gemeinschaft sind immer eine Zeit der Gnaden, in der ich neue Kraft schöpfen kann, um meinen Glauben im Alltag zu leben.

    Ich beginne nun mein drittes Jahr als Jüngerin und kann behaupten, dass nicht mehr ich das Kreuz trage, sondern es mein Leben trägt.

    Pauline

    Clément

    témoignage de

    Clément

    Dimanche 7 octobre, j’ai  renouvelé mon engagement de Disciple de l’Agneau. Voici pourquoi.

    Parce que Jésus-Christ est mon seul Maître. De qui d’autre me mettrai-je à la suite ? Il est celui qui fait toute ma joie, la présence constante dans mon cœur qui reste quelques soient les difficultés, les moments de joie ou de doute. Lorsque toutes mes certitudes s’envolent, lorsque mes amis me manquent, lui est fidèle et il répond toujours quand je l’appelle. Il est le roc sur lequel j’ancre mon cœur, la quille qui stabilise ma vie. Il ne m’a jamais fait défaut.

    Parce qu’en Jésus seul je trouve mon bonheur. Récemment, alors que je m’efforçais d’être vertueux (ça peut arriver), je me suis rendu compte que j’aurai beau être parfait, agir parfaitement, je ne serai pas pour autant comblé. La seule façon d’être comblé de bonheur est de vivre dans le Cœur de Jésus. Jamais je n’ai trouvé de bonheur comparable à celui que j’ai expérimenté quelques fois devant la Face du Seigneur durant l’adoration, ou durant la communion à la messe. Aucun bonheur n’égale celui de sentir la présence brûlante de Jésus dans son cœur. C’est dans le Cœur de Jésus que je m’épanouis, que je me découvre tel que le Père a voulu que je sois, que je me sens libre, connu, aimé. Cette présence qui m’habite est vivante, elle est aussi parole. A l’âge de huit ans (à force de demander), j’ai reçu la grande grâce de pouvoir entrer en dialogue avec Jésus, de discuter avec lui de façon intelligible. Aujourd’hui, douze ans après, une amitié très profonde s’est ancrée entre Jésus et moi, et de la surgit ma joie.

    Parce que je veux encore recevoir les grâces que Dieu veut me donner. Plus je reçois, et plus mon désir grandi. Plus j’aime Jésus, et plus j’ai le désir de le connaître, d’approfondir ses mystères et de demeurer dans son amour. Plus je demande, et plus je reçois. Dieu a un tel désir de se faire connaître et de se donner ! Et il suffit de demander !

    Enfin, je ne peux garder pour moi l’amour que Dieu a aussi pour les autres. Être Disciple de l’Agneau, c’est aussi être témoin visible de Jésus et de ce qu’il fait dans ma vie, pour que les autres voient quel grand amour Dieu veut leur donner.

    Clément, 20 ans

    Clément

    zeugnis von

    Clément

    Am Sonntag, dem 7. Oktober, habe ich meine Verpflichtung als Jünger des Lammes erneuert. Hier ist der Grund dafür.

    Weil Jesus Christus mein einziger Meister ist. Wem sonst sollte ich mich in die Nachfolge stellen? Er ist derjenige, der meine ganze Freude ausmacht, die ständige Präsenz in meinem Herzen, die unabhängig von Schwierigkeiten, Momenten der Freude oder des Zweifels bleibt. Wenn alle meine Sicherheiten wegfallen, wenn ich meine Freunde vermisse, ist er treu und antwortet immer, wenn ich ihn rufe. Er ist der Fels in der Brandung, auf dem ich mein Herz verankere, der Kiel, der mein Leben stabilisiert. Er hat mich noch nie im Stich gelassen.

    Denn in Jesus allein finde ich mein Glück. Vor kurzem, als ich mich bemühte, tugendhaft zu sein (das kann passieren), wurde mir klar, dass ich zwar perfekt sein und perfekt handeln kann, aber trotzdem nicht erfüllt sein werde. Die einzige Möglichkeit, glücklich zu sein, besteht darin, im Herzen Jesu zu leben. Ich habe noch nie ein Glück gefunden, das mit dem vergleichbar wäre, das ich einige Male vor dem Angesicht des Herrn während der Anbetung oder während der Kommunion in der Messe erfahren habe. Kein Glück kommt dem gleich, die brennende Gegenwart Jesu in seinem Herzen zu spüren. Im Herzen Jesu blühe ich auf, entdecke mich so, wie der Vater es wollte, dass ich bin, fühle mich frei, bekannt und geliebt. Diese Gegenwart, die in mir wohnt, ist lebendig, sie ist auch Wort. Im Alter von acht Jahren (durch häufiges Bitten) erhielt ich die große Gnade, mit Jesus in einen Dialog treten zu können, mich mit ihm auf verständliche Weise zu unterhalten. Heute, zwölf Jahre später, hat sich zwischen Jesus und mir eine sehr tiefe Freundschaft verankert, und daraus erwächst meine Freude.

    Denn ich möchte immer noch die Gnaden empfangen, die Gott mir geben will. Je mehr ich empfange, desto größer wird mein Verlangen. Je mehr ich Jesus liebe, desto größer wird mein Verlangen, ihn kennenzulernen, seine Geheimnisse zu ergründen und in seiner Liebe zu bleiben. Je mehr ich bitte, desto mehr empfange ich. Gott hat ein solches Verlangen danach, bekannt zu werden und sich selbst zu geben! Und es genügt, darum zu bitten!

    Schließlich kann ich die Liebe, die Gott auch für andere hat, nicht für mich behalten. Jünger des Lammes zu sein bedeutet auch, ein sichtbarer Zeuge für Jesus und das, was er in meinem Leben tut, zu sein, damit andere sehen können, welch große Liebe Gott ihnen schenken möchte.

    Clément, 20 Jahre

    témoignage de

    Marie

    J’ai 30 ans. Je suis mariée et mère de trois enfants de 5 ans, 3 ans et un nouveau-né. Mon mari n’est pas baptisé bien que nous nous soyons mariés à l’Eglise et que nos enfants le soient. Je suis enseignante en lycée.

    J’ai fait mon premier engagement en tant qu’Amie de l’Agneau de la maison de Nouan-le-Fuzelier en février 2014. Depuis, je l’ai renouvelé chaque année.

    C’est en 2005 que j’ai rencontré la Communauté des Béatitudes et le coup de foudre a été immédiat. Musicienne, j’ai tout de suite été séduite par les chants et la beauté de la liturgie. Au fil du temps, je me suis vraiment rapprochée de la Communauté et lorsqu’en 2007 la responsable du foyer que je fréquentais m’a parlé de cet engagement d’Ami de l’Agneau, cela m’a tout de suite parlé. Cet engagement correspondait exactement au lien que je voulais conserver avec la Communauté. Finalement, il en a été tout autrement et après un éloignement géographique et spirituel pendant quelques temps, j’ai retrouvé le chemin de la Communauté en 2011 à l’occasion des JMJ de Madrid. Et rapidement, l’appel à devenir Amie de l’Agneau s’est fait à nouveau sentir. Il m’est apparu essentiel à mon équilibre spirituel. Je me suis rendu compte que j’ai besoin de la Communauté pour me ramener toujours à Jésus et que c’était important pour moi d’avoir un rôle, une place pour la Communauté.

    Au quotidien, cet engagement m’apporte un soutien sans faille, l’assurance d’avoir des frères et sœurs qui me portent dans leur prière et le plaisir de se retrouver vraiment en famille lors des weekends au foyer. J’ai aussi la joie d’avoir pu « exporter » les Soirées Pétales de roses dans ma paroisse : du coup chaque année en octobre, deux membres de la Communauté viennent animer avec moi cette veillée qui s’enracine maintenant depuis cinq ans dans la culture paroissiale !

    Marie

    zeugnis von

    Marie

    Ich bin 30 Jahre alt. Ich bin verheiratet und Mutter von drei Kindern im Alter von fünf und drei Jahren sowie einem Neugeborenen. Mein Mann ist nicht getauft, obwohl wir kirchlich geheiratet haben und unsere Kinder getauft sind. Ich bin Lehrerin an einem Gymnasium.

    Ich habe mich im Februar 2014 zum ersten Mal als Lammfreundin des Hauses in Nouan-le-Fuzelier verpflichtet. Seitdem habe ich es jedes Jahr erneuert.

    Im Jahr 2005 lernte ich die Gemeinschaft der Seligpreisungen kennen und es war sofort Liebe auf den ersten Blick. Als Musikerin war ich sofort von den Gesängen und der Schönheit der Liturgie begeistert. Im Laufe der Zeit näherte ich mich der Gemeinschaft wirklich an und als mir 2007 die Leiterin des Wohnheims, das ich besuchte, von der Verpflichtung als Freund des Lammes erzählte, sprach mich das sofort an. Diese Verpflichtung entsprach genau der Verbindung, die ich mit der Gemeinschaft aufrechterhalten wollte. Schließlich kam es ganz anders, und nachdem ich mich einige Zeit lang geografisch und spirituell entfernt hatte, fand ich 2011 anlässlich des Weltjugendtags in Madrid wieder den Weg zur Gemeinschaft. Und schon bald war der Ruf, eine Freundin des Lammes zu werden, wieder spürbar. Er erschien mir wesentlich für mein spirituelles Gleichgewicht. Mir wurde klar, dass ich die Gemeinschaft brauche, um mich immer wieder zu Jesus zurückzubringen, und dass es für mich wichtig ist, eine Rolle, einen Platz für die Gemeinschaft zu haben.

    Im Alltag gibt mir dieses Engagement eine unerschütterliche Unterstützung, die Gewissheit, dass ich Brüder und Schwestern habe, die mich in ihrem Gebet tragen, und die Freude, an den Wochenenden im Heim wirklich als Familie zusammenzukommen. Ich freue mich auch, dass ich die Rosenblütenabende in meine Pfarrei „exportieren“ konnte: Jedes Jahr im Oktober kommen zwei Mitglieder der Gemeinschaft, um mit mir diese Nachtwache zu gestalten, die nun seit fünf Jahren in der Pfarrkultur verwurzelt ist!

    Marie

    témoignage de

    Terez

    Je suis hongroise, j’ai 23 ans et je fais actuellement des études à Budapest pour devenir institutrice.

    L’année dernière, j’ai participé pour la deuxième fois au Festival Thabor, camp de jeunes de la Communauté des Béatitudes à Homokkomarom en Hongrie.  Ce camp a été très béni : je me suis sentie très près de Dieu et j’ai reçu beaucoup de grâces. Ma petite sœur était déjà Disciple de l’Agneau et m’avait souvent parlé de la formation, de l’ambiance, de ses expériences et des temps passés avec Dieu, si bien qu’à la fin de l’été, j’ai décidé d’appartenir moi aussi à la Communauté : je voulais retourner à Homokkomarom, je voulais être Disciple de l’Agneau !

    Je connaissais déjà la spiritualité et les prières de la Communauté des Béatitudes par mes parents qui sont eux aussi membres de la Communauté. C’est pourquoi je m’y sens vraiment chez moi.

    Je suis actuellement en deuxième année de formation. Depuis que j’appartiens à la Communauté, j’ai forgé de nombreuses relations précieuses, et j’ai reçu énormément de Dieu. J’ai découvert des perspectives nouvelles qui m’aident dans ma relation avec Dieu. Cela a renforcé ma foi et m’a appris à devenir une chrétienne plus adulte et plus consciente de sa foi. J’ai également pu faire l’expérience du bonheur d’être ensemble, en Communauté, avec les sœurs et avec les autres !

    Mon engagement a été quelque chose de très intense. Je suis heureuse d’avoir pu dire un « oui » conscient à Dieu. Cet engagement me donne beaucoup de force et me soutient sur ma route pour que je puisse m’approcher toujours plus du Bon Dieu ! Persévérer au quotidien est parfois un vrai combat, mais l’engagement est un point sûr auquel je peux toujours revenir. De plus, je ne suis pas seule et cela me fortifie : on fait cet engagement ensemble, on est en communion et on peut se fortifier les uns les autres à travers nos expériences et nos combats quotidiens.

    Terez

    zeugnis von

    Terez

    Ich bin 23 Jahre alt, komme aus Ungarn und studiere derzeit in Budapest, um Grundschullehrerin zu werden.

    Letztes Jahr habe ich zum zweiten Mal am Tabor-Festival teilgenommen, einem Jugendlager der Gemeinschaft der Seligpreisungen in Homokkomarom in Ungarn.  Dieses Lager war sehr gesegnet: Ich fühlte mich Gott sehr nahe und empfing viele Gnaden. Meine jüngere Schwester war bereits Jüngerin des Lammes und hatte mir oft von der Ausbildung, der Atmosphäre, ihren Erfahrungen und der Zeit mit Gott erzählt, so dass ich am Ende des Sommers beschloss, ebenfalls zur Gemeinschaft zu gehören: Ich wollte zurück nach Homokkomarom, ich wollte Jüngerin des Lammes sein!

    Ich kannte die Spiritualität und die Gebete der Gemeinschaft der Seligpreisungen bereits von meinen Eltern, die ebenfalls Mitglieder der Gemeinschaft sind. Deshalb fühle ich mich dort wirklich zu Hause.

    Ich befinde mich derzeit im zweiten Jahr der Ausbildung. Seitdem ich der Gemeinschaft angehöre, habe ich viele wertvolle Beziehungen geknüpft und sehr viel von Gott empfangen. Ich habe neue Perspektiven entdeckt, die mir in meiner Beziehung zu Gott helfen. Das hat meinen Glauben gestärkt und mich gelehrt, eine erwachsenere und glaubensbewusstere Christin zu werden. Ich konnte auch erfahren, wie glücklich es ist, zusammen zu sein, in der Gemeinschaft, mit den Schwestern und mit anderen!

    Mein Engagement war etwas sehr Intensives. Ich bin glücklich, dass ich ein bewusstes „Ja“ zu Gott sagen konnte. Dieses Engagement gibt mir viel Kraft und unterstützt mich auf meinem Weg, damit ich dem lieben Gott immer näher kommen kann! Im Alltag durchzuhalten ist manchmal ein echter Kampf, aber die Verpflichtung ist ein sicherer Punkt, zu dem ich immer wieder zurückkehren kann. Außerdem bin ich nicht allein, und das stärkt mich: Wir gehen diese Verpflichtung gemeinsam ein, wir haben Gemeinschaft und können uns gegenseitig durch unsere Erfahrungen und unsere täglichen Kämpfe stärken.

    Terez